Accueil / Haïti (Québec) - DVD
Numéro de catalogue: NFB523517
Producteur: National Film Board Of Canada
Producteurs: Roger Frappier, Michel Dandavino
Réalisateurs: Tahani Rached
Agences de production: Office national du film du Canada (Montreal)
Sujet: Diversité culturelle, Documentaire, Histoire des noirs, Problèmes sociaux
Langue: Français
Pays d'origine: Canada
Année du droit d’auteur: 1985
Durée: 59:20
Cliquez ici pour les prix
Haïti (Québec) - DVD
Numéro de catalogue: NFB523517
Producteur: National Film Board Of Canada
Producteurs: Roger Frappier, Michel Dandavino
Réalisateurs: Tahani Rached
Agences de production: Office national du film du Canada (Montreal)
Sujet: Diversité culturelle, Documentaire, Histoire des noirs, Problèmes sociaux
Langue: Français
Pays d'origine: Canada
Année du droit d’auteur: 1985
Durée: 59:20
Cliquez ici pour les prix
Les Haïtiens composent la plus importante collectivité noire du Québec : ils sont plus de 40 000, en grande majorité installés sur l'île de Montréal, où ils sont souvent la cible de préjugés, d'hostilité et de mépris. Comment les accueillons-nous?
Ce film documentaire n'est pas un acte d'accusation, encore moins un procès. Il veut cependant catalyser notre attention, en nous prenant à témoin d'une réalité cruelle et dramatique : la commuauté haïtienne de Montréal, ces gens d'une autre culture venus ici avec, dans leur bagages, autant d'espoirs que de chagrins, souffre de notre rejet.
S'ils ont quitté leur terre d'origine, c'était pour fuir la répression, la pauvreté, et trouver ailleurs--chez nous--une vie meilleure. L'ont-ils trouvée? Peut-être ont-ils obtenu ici du travail ainsi que le droit de parler et d'agir librement. Mais sont-ils compris, aimés et respectés pour autant?
Ce film documentaire n'est pas un acte d'accusation, encore moins un procès. Il veut cependant catalyser notre attention, en nous prenant à témoin d'une réalité cruelle et dramatique : la commuauté haïtienne de Montréal, ces gens d'une autre culture venus ici avec, dans leur bagages, autant d'espoirs que de chagrins, souffre de notre rejet.
S'ils ont quitté leur terre d'origine, c'était pour fuir la répression, la pauvreté, et trouver ailleurs--chez nous--une vie meilleure. L'ont-ils trouvée? Peut-être ont-ils obtenu ici du travail ainsi que le droit de parler et d'agir librement. Mais sont-ils compris, aimés et respectés pour autant?