Accueil / Suzor-Coté - DVD
Numéro de catalogue: NFB522703
Producteur: National Film Board Of Canada
Producteurs: André Gladu
Réalisateurs: Serge Giguère
Agences de production: National Film Board of Canada (Montreal), Office national du film du Canada (Montreal)
Sujet: Arts, Cinéma de fiction et Cinéastes, Documentaire, Histoire, Histoire du Canada
Langue: Français
Niveau scolaire: Post-secondaire
Pays d'origine: Canada
Année du droit d’auteur: 2001
Durée: 52:10
Sous-titrage: Oui
Cliquez ici pour les prix
Suzor-Coté - DVD
Numéro de catalogue: NFB522703
Producteur: National Film Board Of Canada
Producteurs: André Gladu
Réalisateurs: Serge Giguère
Agences de production: National Film Board of Canada (Montreal), Office national du film du Canada (Montreal)
Sujet: Arts, Cinéma de fiction et Cinéastes, Documentaire, Histoire, Histoire du Canada
Langue: Français
Niveau scolaire: Post-secondaire
Pays d'origine: Canada
Année du droit d’auteur: 2001
Durée: 52:10
Sous-titrage: Oui
Cliquez ici pour les prix
Né à Arthabaska en 1869, dans une famille de notables, Marc-Aurèle Coté devient le grand Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté, ce précurseur du milieu des arts qui annoncera la révolution de la peinture québécoise des années quarante. Il faut dire que Suzor-Coté, peintre aux dons prodigieux, sculpteur et même baryton à l'occasion, était entouré de beautés. Les splendeurs de sa région natale des Bois-Francs lui auront inspiré l'essentiel d'un oeuvre majeur qui a contribué à fixer l'image d'un pays à définir. Tandis que sa fougue créatrice, doublée de profondes convictions artistiques, lui aura valu de son vivant une reconnaissance qui débordera nos frontières.
C'est en 1891 que le jeune Coté se rend dans la Ville Lumière grossir le contingent de Canadiens français venus se frotter à l'avant-garde de l'époque. Inscrit à l'École des beaux-arts et aux académies Julian et Colarossi, le rapin d'Arthabaska ne tarde pas à se démarquer en faisant valoir des dispositions remarquables. Bon vivant, Suzor saura profiter de ses années en Europe pour goûter aux nombreux plaisirs de la bohème et après avoir récolté son lot de distinctions prestigieuses, il revient au pays auréolé d'une gloire qui lui attira aussi bien les faveurs d'une bourgeoisie férue de ses tableaux, que de la critique montréalaise et torontoise. C'est en se réfugiant au sein de cette nature adorée, celle-là même qui avait bercé son enfance, que Suzor-Coté s'affirmera un style plus libre et plus personnel qui donnera naissance à la touche Suzor-Coté.
Cette nature, offerte en toile de fond de ce portrait, retrace les grandes étapes d'un parcours artistique des plus exceptionnels. Entre scènes d'époque, documents d'archives, anecdotes et savoureux témoignages, l'artiste revit sous nos yeux depuis ses premiers croquis jusqu'à ses dernières années où, pour raisons de santé, il doit se réfugier en Floride «loin de ses chers pinceaux».
C'est en 1891 que le jeune Coté se rend dans la Ville Lumière grossir le contingent de Canadiens français venus se frotter à l'avant-garde de l'époque. Inscrit à l'École des beaux-arts et aux académies Julian et Colarossi, le rapin d'Arthabaska ne tarde pas à se démarquer en faisant valoir des dispositions remarquables. Bon vivant, Suzor saura profiter de ses années en Europe pour goûter aux nombreux plaisirs de la bohème et après avoir récolté son lot de distinctions prestigieuses, il revient au pays auréolé d'une gloire qui lui attira aussi bien les faveurs d'une bourgeoisie férue de ses tableaux, que de la critique montréalaise et torontoise. C'est en se réfugiant au sein de cette nature adorée, celle-là même qui avait bercé son enfance, que Suzor-Coté s'affirmera un style plus libre et plus personnel qui donnera naissance à la touche Suzor-Coté.
Cette nature, offerte en toile de fond de ce portrait, retrace les grandes étapes d'un parcours artistique des plus exceptionnels. Entre scènes d'époque, documents d'archives, anecdotes et savoureux témoignages, l'artiste revit sous nos yeux depuis ses premiers croquis jusqu'à ses dernières années où, pour raisons de santé, il doit se réfugier en Floride «loin de ses chers pinceaux».